La saison touche à sa fin, mais il nous reste deux très belles dates avant de conclure.
- Dès ce jeudi 2 juin à la maison des associations d’Estrablin, nous retrouverons notre duo; Jean-Julien Aumercier, et Pierre-Edouard Pépin, nos fidèles profs de philosophie et de mathématiques du lycée E.Fitzgerald pour une conférence partagée très attendue :
« Regards croisés sur la collapsologie » P-E Pépin et J-J Aumercier
Cette conférence se proposera d’examiner d’abord quelles sont les origines de ce courant de pensée qui porte aujourd’hui le nom de collapsologie, avant de tenter de cerner ce qui peut nous pousser à aborder ce point de vue. Qu’est-ce qui, aujourd’hui, peut nous laisser penser que notre civilisation peut s’effondrer ? Nous examinerons ensuite, de manière critique, ce que les collapsologues nous proposent comme réaction face à la catastrophe et nous tenterons enfin un examen de ce que la littérature de l’imaginaire nous permet de penser dans ce domaine, elle qui fait depuis longtemps l’effort de projeter l’humanité après la fin du monde tel que nous le connaissons.
- La veille, le mercredi 1er juin, à 19H, nos amis d’ATTAC Vienne pays rhodanien et de la librairie Lucioles, reçoivent l’économiste Maxime Combes, à propos de son dernier ouvrage « Un pognon de dingue, mais pour qui ? L’argent magique de la pandémie »
C’est en octobre 2015 que Maxime Combes publiait « Sortons de l’âge des fossiles! » sous-titré « Manifeste pour la transition ». Le moins qu’on puisse, presque sept ans après, c’est que cette injonction, n’a pas été reprise par ceux qui nous gouvernent. Cet état des lieux fondé sur des données scientifiques était un appel à la raison et à l’urgence des mesures à prendre. Son nouveau livre qui vient de paraître, co-écrit avec le journaliste Olivier Petitjean pose la question déjà posée dans le précédent de l’usage qui est fait de l’argent public: « UN POGNON DE DINGUE mais pour qui? » sous-titré « L’argent magique de la pandémie ». L’argent magique existe : ce sont les entreprises privées qui en profitent. En 18 mois de pandémie de COVID-19, elles ont obtenu 240 milliards d’euros d’aides publiques, le plus souvent sans conditions écologiques, fiscales et sociales. »
source : site internet ATTAC