Bonjour à tous,
ça y est, nous y sommes.
Retrouvons nous ce mercredi 3, début à 19h30, à l’auditorium de la médiathèque du Trente, en compagnie de Jean-Julien Aumercier et Pierre-Edouard Pépin pour une conférence à la fois philosophique et mathématique, et dans le cadre de notre cycle HOMO NUMERICUS :
« Faut-il avoir peur de l’intelligence artificielle ? »
Nous sommes aujourd’hui entourés par les intelligences artificielles. Elles se multiplient, deviennent de plus en plus performantes et remplacent les hommes dans bien des domaines. Derrière cette prolifération de machines se cache la possibilité d’une humanité complètement soumise, victime de l’intelligence qu’elle a elle-même engendrée. Mais faut-il avoir peur de l’intelligence artificielle ? Comment sortir de cette sidération par rapport à ces algorithmes qui n’ont pourtant que les capacités que nous leur avons données ? Cette conférence se propose de mesurer l’intelligence de l’IA en passant par la science-fiction, la philosophie et les mathématiques, afin d’évaluer clairement le danger auquel nous avons affaire et voir dans quelle mesure nous pouvons rester maîtres de nos ordinateurs.
Le lendemain, jeudi 4, rendez-vous à l’école de Vernioz, pour l’Upop du pays roussillonnais, début 19h30, avec Jean-Paul Boutellier, pour « Jazz et polar »
« Les amateurs de polars et les amateurs de musique de jazz sont bien souvent les mêmes. Cette constatation peut aisément s’expliquer par le fait que le jazz est né et s’est développé souvent dans les milieux des gangsters à la Nouvelle-Orléans, à Chicago, à New York ou à Kansas City à l’époque de la prohibition. De plus ces deux formes, musicale et littéraire, ont subi les mêmes préjugés : à musique de sauvages, on associait littérature de gare. Il était donc évident que de nombreux auteurs de romans noirs associent d’une façon ou d’une autre le jazz alors œuvre un phénomène identique va associer le jazz et le cinéma surtout le cinéma noir notre rencontre tentera d’expliquer ses relations et de répertorier la place du jazz dans la littérature policière »